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exposants
3 octobre 2023 09:58 - C!Mag
Si le workwear a connu une croissance soutenue durant la crise sanitaire, il poursuit son développement depuis lors. Un dynamisme économique qui s’explique notamment par les transformations engagées au cours des dernières années. Travail sur l’esthétique et le confort, impact dans la communication des entreprises, implication RSE grandissante, ouverture des circuits de distribution : le monde du vêtement de travail évolue sur tous les plans. De quoi ouvrir de nombreuses opportunités commerciales pour l’ensemble des acteurs du marché textile. La bonne tenue du workwear se confirme. Ce segment, qui rassemble les produits textiles professionnels destinés, pour l’essentiel, à protéger l’intégrité physique des travailleurs, a connu une croissance notable pendant la pandémie. Une raison essentielle explique cet état de fait : le souhait des entreprises de protéger leurs salariés face au risque sanitaire, en leur offrant de nouveaux vêtements de travail. Et au sortir de la crise, le développement du marché s’est poursuivi. « L’épisode du Covid n’a pas été un feu de paille. La prise de conscience de l’importance de prendre soin des salariés s’est installée durablement », explique Christophe Lardy, CEO de New Wave France. 700 MILLIONS D’EUROS Traditionnellement, ce sont les changements réglementaires qui tirent le marché du workwear. Celui-ci enregistre, en moyenne, entre 3 et 4 % de croissance annuelle. « Cette dimension légale a toujours existé, mais elle ne cesse de se durcir, afin d’assurer une protection optimale aux travailleurs », constate Julien Bourgault, brand manager WK chez Kariban Brands. Un autre facteur de développement émerge par ailleurs ces derniers mois : le marché des particuliers. De grandes enseignes de bricolage comme Leroy Merlin ou Castorama proposent à présent des rayons entiers dévolus aux vêtements de travail et aux équipements de protection individuelle (EPI). Des surfaces de 200 ou 300 m² en magasin inimaginables quelques années en arrière, mais qui se justifient aujourd’hui par l’envie des Français de s’équiper de vêtements spécifiques pour bricoler ou jardiner à la maison. Conscients du potentiel du marché des particuliers, les loueurs professionnels et les négociants en matériaux de construction, tels que Kiloutou et Big Mat, attaquent également cette cible. Résultat, on estime le marché français du vêtement de travail à 700 millions d’euros. LA FIN DU BLEU DE TRAVAIL Si les circuits de distribution évoluent, c’est aussi le cas des produits. « On ne peut plus se permettre d’offrir aux porteurs des vêtements bleu Bugatti », pose Marc Boulongne, responsable commercial France du fabricant danois Engel Workwear. Le
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...2 octobre 2023 10:10 - C!Mag
Au début de l’été 2022, deux mouvements ont fait grand bruit sur le marché de l’objet média : SOLO Group a racheté midocean et Synneo est né de la fusion de BV Promo, LAGARDERE et AFSO. Un an plus tard, quid des ajustements opérationnels au sein des deux organisations ? La montée en puissance attendue se vérifie-t-elle par le gain d’appels d’offres majeurs ? Quelles sont les perspectives pour les mois à venir ? Entretien croisé avec Audélia Krief, CEO de SOLO Group, et Laurent Bourasseau, président de Synneo. Quel premier bilan général faites-vous des mouvements opérés ? Audélia Krief : Il est très positif. Il faut dire que l’opération a été bien préparée avec midocean. Nos deux entreprises se connaissaient déjà, nous collaborons depuis plusieurs années, donc cela a facilité les choses. D’autant plus que nous avons la chance d’avoir un collectif engagé, avec des collaborateurs compétents et impliqués dans leur travail, chez midocean comme chez SOLO Group. Au global, ce fut une année intense et riche en projets. Les premières actions mises en place sont encourageantes pour la suite. Laurent Bourasseau : Le bilan est aussi très satisfaisant de notre côté. L’un de nos objectifs était de conserver nos effectifs et c’est le cas. Nous en sommes ravis car la dimension RH n’est jamais évidente à appréhender après une fusion. Les contrats de travail étaient différents au sein des trois entités et il a fallu travailler sur cet aspect. Sur le plan commercial, nous possédons à présent une direction unique, qui chapeaute une quarantaine de collaborateurs. Les résultats sont déjà là, car nous allons enregistrer une progression de chiffre d’affaires consolidé de l’ordre de 20 %. Audélia, vous évoquiez l’an dernier le besoin d’harmonisation des politiques commerciales entre SOLO Group et midocean. Est-ce à présent le cas ? AK : Les deux entreprises restent distinctes, mais nous mettons en place toutes les synergies possibles. Nous ne connaissons pas le niveau de complexité décrit par Laurent, car nous n’avons pas fusionné les entités. Néanmoins, un gros travail a été engagé avec midocean, à la fois sur la politique, mais aussi sur l’organisation commerciale. Ces deux aspects sont désormais harmonisés et adaptés en fonction des régions géographiques. La France représente un cas spécifique, car il s’agit du pays phare pour le business de nos deux structures. Nous l’avons donc analysé avec beaucoup d’attention. Des étapes restent à franchir d’ici la
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...13 septembre 2023 15:51 - C!Mag
Près de 1 900 visiteurs ont arpenté les allées du Carrousel du Louvre, à Paris, les 6 et 7 septembre derniers, dans le cadre de la 13e édition du salon Premium Sourcing. Vitrine des nouveautés produits du marché de l’objet média et facilitateur de rencontres business, l’évènement a donné, une fois encore, toutes les cartes en mains aux visiteurs afin d’aborder le dernier trimestre de l’année dans les meilleures conditions. Un rendez-vous incontournable pour l’ensemble de la filière de l’objet média. Cette année encore, le salon Premium Sourcing, organisé les 6 et 7 septembre derniers à Paris, a tenu toutes ses promesses. Les 124 exposants présents sur place ont eu l’opportunité de présenter leurs nouvelles références à un total de 1 857 visiteurs, composé de distributeurs et revendeurs d’objets médias, de professionnels du marquage et d’agences de communication. De l’avis de tous, les échanges menés sur les stands et les deux business bars furent riches et prometteurs en vue des traditionnelles commandes de fin d’année. Le tout dans une ambiance conviviale et détendue, comme il est de coutume sur Premium Sourcing. Elément clé du salon, le programme de conférences a permis d’analyser les principaux enjeux actuels du marché de l’objet média. La 2FPCO, représentée par Cécile Fougerouse (Dream Act), Tony Joyeau (Kelcom), Alex Lawson (Cybernecard) et Max Lebon (CitizenGreen), a profité de l’évènement pour détailler ses initiatives en termes de RSE. La fédération de la filière a également abordé la question du droits des marques, via une intervention de l’avocat Loullig Bretel, du Cabinet Racine. Partenaire historique de Premium Sourcing, European Sourcing, par l’intermédiaire de son responsable marketing Gaël Rolland, a démontré l’intérêt de l’usage de l’intelligence artificielle dans l’objet média, ainsi que l’importance du SEO pour attirer des clients locaux. Enfin, deux table-rondes se sont tenues sur le salon. Une première, consacrée au workwear et à ses multiples transformations au cours des dernières années, a rassemblé Xavier Andiole (MTS Sérigraphie), Christophe Lardy (New Wave France) et Thierry Pique (Colbleu). Un autre rendez-vous a traité des liens de plus en plus étroits entre high-tech et RSE, en compagnie de Perrine Beauvais (Akashi Gift), Stanislas Confavreux (SCX Design) et Patrice Delavau (XD Connects). Pour celles et ceux qui auraient manqué une conférence, un replay complet du programme de contenu est disponible ici. Du côté des animations, le Print Live, conduit par le distributeur de solutions d’impression Must Technologie, fut l’occasion pour les visiteurs du salon de découvrir la technologie DTF (Direct-to-Film). De
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